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Label UNESCO : un vrai plus pour la ville d’Angoulême

Alors que la Ville doit renouveler son label « ville créative UNESCO », la Charente Libre revient dans son édition de jeudi 12 octobre sur l’importance pour Angoulême d’avoir acquis cette prestigieuse distinction et fait le bilan après 4 années de classement. Extraits et citations.


logo charente libre

En introduction, la CL rappelle que le label a été obtenu il y a bientôt 4 ans déjà et que le dossier de renouvellement doit être déposé avant la fin du mois d’octobre.

On a réussi à s’inscrire parmi les villes créatives les plus actives. On a des liens très forts avec Milan, Manchester, Edimbourg, Québec, Melbourne, Seattle, Bucheon…

Gérard Desaphy, conseiller municipal délégué au label

C’est presque un exploit vu les villes qu’on avait en face mais, au niveau de l’UNESCO, on est très bien perçu.

Denis Debrosse, Président de Cap BD

Le Pavillon

L’article revient ensuite sur les actions menées et insiste sur la place centrale occupée par le Pavillon de la rue Hergé où l’association Cap BD Angoulême a pris ses quartiers pour organiser régulièrement des expositions, rencontres et séances de dédicaces en dehors du FIBD où le local est un des espaces officiels.

Il était prévu qu’on démonte tout après le festival mais les auteurs et autrices locaux ont réclamé que le Pavillon reste en place.

Denis Debrosse, Président de Cap BD

Cela permet de montrer au public qu’il y a une synergie.

C’est l’association qui fait prendre corps au label.

Tristoon, auteur

On a rompu avec l’entre-soi. On a créé un pont entre les auteurs et le public angoumoisin au-delà du Festival.

Julie Gore, illustratrice

On dessine ensemble, les gens passent, on partage… Ça fait du bien à tout le monde. C’est le lieu qui manquait dans la rue piétonne.

Cap BD est devenu un interlocuteur privilégié.

Delphine Rieu, Éditions Eidola

Pour conclure, le mot de la fin résume l’impact qu’a label et sa mise en valeur par l’association Cap BD sur le tourisme et la réputation de la ville à l’international.

En termes d’image, c’est un vrai plus.

David Guilbot, directeur de l’office de Tourisme

Lire l’article en entier sur le site de la Charente Libre.